Un nutritionniste, un diététicien ou un consommateur conscient aime plus qu’un consensus scientifique. Et l’une des choses sur lesquelles tout le monde semble s’accorder le plus, ce sont les bienfaits de la consommation de poisson. Étude après étude, il a été confirmé que manger plus de poisson – en particulier celui élevé sans produits chimiques, antibiotiques, conservateurs ou autres additifs – peut être bénéfique pour notre santé et notre planète.

Avec Maison Perla, service de Livraison Fruit de Mer et Champagne a Lyon, examinons quelques-unes des raisons (prouvées !) pour lesquelles vous devriez ajouter plus de poisson, comme le tilapia, à votre alimentation.

Un cœur sain

Le poisson est bon pour le cœur. L’Association américaine du cœur recommande depuis longtemps aux gens de manger au moins deux portions de poisson par semaine – et beaucoup, dont la Mayo Clinic, suivent encore ce conseil aujourd’hui. La raison en est simple : les acides gras oméga-3 préviennent les maladies cardiovasculaires chez les personnes dont le cœur est en bonne santé et réduisent le risque d’arythmies potentiellement mortelles chez les personnes qui souffrent déjà de problèmes cardiaques. En contribuant à faire baisser la pression artérielle, à ralentir l’accumulation de la plaque dans les artères et à diminuer les triglycérides, les fruits de mer sont sûrs de faire fonctionner votre cœur pendant de nombreuses années.

En prime, le poisson est pauvre en graisses. Outre les maladies cardiaques, le diabète de type 2, l’obésité et les accidents vasculaires cérébraux sont des problèmes de santé très répandus dans le monde développé. Le poisson étant le type de viande le plus maigre, il est logique d’en manger davantage, d’autant plus qu’il a été démontré qu’il réduit le taux de cholestérol dans le sang.

Un esprit fort

Les fruits de mer donnent un tout nouveau sens à l’expression “nourriture pour le cerveau”. Il a été démontré que le poisson, par exemple, réduit le risque et le rythme du déclin cognitif. Une étude souvent citée, publiée dans le journal américaine de la médecine préventive, montre que la consommation de poisson contribue également à préserver la matière grise – la matière grise du cerveau qui permet de stocker les souvenirs, de réguler les émotions et de retenir et traiter les informations.

Si nous pouvons tous bénéficier de la consommation de fruits de mer au moins une fois par semaine, les femmes enceintes peuvent envisager d’en manger encore plus. Le poisson est tellement riche en protéines et en nutriments essentiels qu’il joue un rôle important dans le développement neural et cognitif du nourrisson, ce qui se traduit par une intelligence supérieure et un meilleur comportement.

Bien sûr, cela varie en fonction de l’espèce et de la façon dont le poisson est élevé. Recherchez des poissons à faible teneur en mercure et autres substances chimiques d’origine naturelle, et n’oubliez pas de vérifier les étiquettes des produits de la mer pour vous assurer qu’ils ne contiennent pas d’hormones de croissance ou d’antibiotiques.

Une perspective ensoleillée

La consommation de poisson permet non seulement de prévenir de nombreux maux et maladies, mais pourrait également améliorer notre humeur. Plusieurs études ont été menées pour déterminer si les acides gras oméga-3 peuvent aider à traiter la dépression et les troubles bipolaires – et bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires, les résultats semblent jusqu’à présent positifs.

En ce qui concerne l’ensoleillement, les fruits de mer sont une excellente source de vitamine D. Même si nous pouvons synthétiser ce nutriment en nous exposant à la lumière du soleil, plusieurs facteurs, dont l’alimentation et l’âge, peuvent entraîner une carence. Il est difficile de trouver une bonne source de vitamine D dans l’alimentation, mais le poisson en est plein. Et si vous mangez suffisamment de fruits de mer, vous bénéficierez de tous ses avantages : une meilleure absorption du calcium pour des os plus solides, une meilleure croissance cellulaire et une meilleure fonction immunitaire.

Une planète plus verte

En termes de gaz à effet de serre émis et de déchets générés, l’aquaculture est beaucoup plus écologique que la production de viande sur terre, et la pisciculture est l’un des secteurs qui connaît la croissance la plus rapide au monde. C’est une excellente nouvelle, car la grande majorité des pêcheries sauvages sont exploitées à leur capacité maximale, voire au-delà.

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